


- le printemps dans l'âme
- Le CD !
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- l'enregistrement
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Duo Anthemis
le PRINTEMPS dans L'ÂME
reflète l'esprit d'une belle rencontre artistique et humaine. Ce programme enthousiasmant est à l'image de notre duo : volubile,
emphatique, parfois festif, il comporte aussi des moments de
contemplation, de rêve, comme des "pauses" au milieu d'un
tourbillon de virtuosité joueuse.
À l’instar de la sonatine d'Horovitz ou de la sonate de Bernstein, le jazz comme inspiration semble irriguer en filigrane la quasi totalité des œuvres de ce programme. Ses harmonies particulières, ses rythmes acérés, l’humour qui pointe parfois comme une musique de film muet dans la pièce de Dartevelle, mais aussi ses balades languissantes dignes d’une ambiance de piano-bar offriront à l’auditeur un dépaysement musical. Car bien souvent il s'agit, lorsqu’un compositeur souhaite évoquer un continent en s’inspirant de son folklore musical, d’unbesoin d’exotisme ou d’une nos talgie pour un pays que celui-ci a pu traverser. C’est le cas de Darius Milhaud, amoureux du Brésil, dont la pièce Scaramouche transforme la figure traditionnel de ce personnage de la Commedia dell’ Arte en pèlerin-voyageur touché dans son âme bouffonne par la saudade brésilienne et la Samba du carnaval de Rio…
Dépaysement musical et acoustique aussi dans la célèbre Première Rhapsodie de Claude Debussy, dont la structure libre et narrative rappelant les odes des poètes de la Grèce antique prend l’auditeur par « l’oreille » pour lui raconter une histoire, toute en sonorités aquatiques et irridescentes.
Le monde de l’enfance enfin, territoire de jeu et d’espièglerie, comme dans la pièce de Jean Françaix, dont l’alibi (une mémorable partie de cache-cache entre un grand-père et son petit-fils) sert de prétexte à des variations plus acrobatiques et contrastées les unes que les autres…
Un programme solaire !
Jeux de lumière, évoluant dans la nature, le coeur chantant toujours :
« le printemps dans l’âme! »
comme le disait Paul Verlaine, qui a d’ailleurs vécu un temps à Metz, non loin de l’Arsenal, notre magnifique salle de concert messine…
Nous aimons imaginer dans toutes les pièces de cet album des personnages évoluant chacun avec leur caractère,cheminant dans des décors naturels réels ou fantasmés. Partez vous promener en musique avec nous sur ces chemins poétiques !
Dépaysement garanti…
- Sonatine de Joseph Horovitz
- Temacon variazioni de Jean Françaix
- Première rhapsodie de Claude Debussy
- Sonate de Leonard Bernstein
- Sonatine d’Olivier Dartevelle
- Scaramouche de Darius Milhaud
Sonatine de Joseph Horovitz
Cette sonatine composée par Joseph Horovitz est créée en 1981 par Gervase de Peyer, commanditaire et dédicataire de la pièce avec Gwenneth Pryor au piano.
Joseph Horovitz est né en 1926 à Vienne en Autriche dans une famille juive qui a émigré en Angleterre en 1938 pour échapper aux nazis. Il débute sa carrière comme chef d’orchestre du prestigieux Bristol Old Vic, le plus ancien théâtre royal du Royaume Uni. Il est nommé professeur de compositionau Royal College of Music en 1961.
C’est un compositeur prolifique qui a écrit pour orchestre, musique de chambre, opéra, et également pour des séries télévisées. Il est décédé récemment en 2022.
Il a étudié la composition avec Gordon-Jacob et Nadia Boulanger au Conservatoire de Paris, et allie finement dans ses œuvres le style classique, le jazz, et la légèreté de la musique viennnoise dont il est originaire.
Le premier mouvement très printanier est comme l’ouverture d’un rideau sur un matin ensoleillé à la campagne. La promesse d’une belle journée où la lumière et les couleurs jouent sur les feuilles et les milieux aquatiques dans de douces et calmes ondulations. Le second mouvement est plus intérieur, profond mais sans gravité, où l’esprit prend plaisir à rêver. Le dernier mouvement est beaucoup plus ludique, très influencé par le jazz, sans oublier au milieu un souvenir de valse viennoise. Il nous évoque une musique de dessin animé dans laquelle notre complicité joueuse peut s’exprimer pleinement.
Temacon variazioni de Jean Françaix
«Parmi les dons de cet enfant, je remarque surtout le plus fécond que puisse posséder un artiste, celui de la curiosité» (Maurice Ravel)
Jean Françaix est né au Mans en 1912. Ses œuvres abondent, tant pour orchestre, instrument solo que musique de chambre : 16 ballets, de nombreux concerti : une quarantaine de pièces composées pour presque tous les instruments de l’orchestre… Sa musique de chambre du duo au dixtuor est très régulièrement jouée et enregistrée dans le monde entier. Parmi elle, son temacon variazionicomposé en 1974 est devenu un des classiques du répertoire pour clarinette et piano.
Excellent pianiste, son jeu est clair, perlé, limpide, mettant en lumière la richesse polyphonique et harmonique de son écriture.
Nous aimons le caractère très ludique de ce thème et variations. Le thème est constitué de trois notes correspondant aux trois syllabes du prénom de son petit-fils Olivier.
L’exposition du thème nous fait penser à une partie de cache-cache entre le compositeur et son petit-fils. S’ensuivent un ensemble de 6 variations aux caractères contrastés. L’écriture est de plus en plus acrobatique et virtuose pour les deux instruments. Le style emprunte une nouvelle fois au jazz et aux musiques populaires, avec même un clin d’oeil à la valse viennoise revisitée.
Première rhapsodie de Claude Debussy
Composée pour le concours de clarinette du conservatoire de Paris en 1910, l’oeuvre est dédiée à Prosper Mimart, professeur de clarinette. Originellement écrite pour clarinette et piano, Debussy en réalise une orchestration en 1911.
Tout en composant au piano, Debussy imagine dès la genèse de l’oeuvre des textures orchestrales très fines qui nourrissent un discours musical raffiné rempli de mystère et de poésie. Il appartient alors aux interprètes que nous sommes de rechercher cette magie sonore : osmose et complicité requises pour la recherche des timbres et des couleurs,jouant souvent avec la lumière.
Côté forme musicale, le style rhapsodique qui tire son nom des rhapsodes grecs de l’Antiquité - tout à la fois conteurs, poètes et acteurs - irrigue toute la partition. Cela se caractérise par une narration pouvant faire appel à un imaginaire très théâtral dans lequel évoluent différents personnages ou atmosphères dans des cadres très différents : la mer au début, un monde souterrain et inquiétant, une fête… Ceci donne lieu à une profusion de thèmes mélodiques contrastés évoluant dans un discoursmusical très libre dans sa construction. Il est constitué de fondus enchaînés, de ruptures et de moments de respiration commune, de suspension du temps…
Sonate de Leonard Berstein
Composée pour le concours de clarinette du conservatoire de Paris en 1910, l’oeuvre est dédiée à Prosper Mimart, professeur de clarinette. Originellement écrite pour clarinette et piano, Debussy en réalise une orchestration en 1911.
Tout en composant au piano, Debussy imagine dès la genèse de l’oeuvre des textures orchestrales très fines qui nourrissent un discours musical raffiné rempli de mystère et de poésie. Il appartient alors aux interprètes que nous sommes de rechercher cette magie sonore : osmose et complicité requises pour la recherche des timbres et des couleurs,jouant souvent avec la lumière.
Côté forme musicale, le style rhapsodique qui tire son nom des rhapsodes grecs de l’Antiquité - tout à la fois conteurs, poètes et acteurs - irrigue toute la partition. Cela se caractérise par une narration pouvant faire appel à un imaginaire très théâtral dans lequel évoluent différents personnages ou atmosphères dans des cadres très différents : la mer au début, un monde souterrain et inquiétant, une fête… Ceci donne lieu à une profusion de thèmes mélodiques contrastés évoluant dans un discoursmusical très libre dans sa construction. Il est constitué de fondus enchaînés, de ruptures et de moments de respiration commune, de suspension du temps…
Sonatine d'Olivier Dartevelle
« Mon idée était d’écrire une pièce facilement accessible par le public et d’enrichir le répertoire de concert, même si, au départ, la pièce était une commande de l’UGDA (union grand-duc Adlophe), institution musicale luxembourgeoise, pour son concours international.»
Composée en même temps que la musique du film Ladies Wiches d’Erichvon Stroheim, commande de l’orchestre de Mulhouse, le troisième mouvement conserve un peu le style des années folles que l’on appelle en Allemagne Goldenen Jahren. » (Olivier Dartevelle).
De gauche à droite : Franck Sibold, Olivier Dartevelle, et le duo Anthemis.
Dans cette sonatine, nous nous plaisons à imaginer un personnage évoluant dans un environnement qui est source d’étonnement permanent pour lui.
Le premier mouvement par exemple nous évoque clairement un personnage à la Chaplin ou à la Buster Keaton, qui se promène, boitillant, parfois claudiquant, toujours à la limite de trébucher! C’est le cinéma muet qui nous vient tout de suite en tête lorsque nous interprétons le premier mouvement. Le deuxième mouvement est plus rêveur, éthéré. Notre personnage se repose, rêve. Les couleurs sonores évoquent Debussy ou le jardin féerique des contes de Ma Mère l’Oye. Nous pénétrons dans un univers étoilé, aérien, nous ne touchons que rarement la terre ferme, à part dans la partie centrale, au tempo plus enlevé.
Enfin,le troisième mouvement pourrait décrire un Arlequin moderne qui aurait troqué son costume de « titi parisien » pour batifoler dans les rues de New York! Espiègle, cabotin, singeant tout ce qui bouge, il déambule, s’amuse et charme tour à tour. Ici encore, les influences de Gershwin (glissando final de la clarinette) et de Bernstein se font sentir.
Scaramouche de Darius Milhaud
Composé par Darius Milhaud en 1937 à la demande de son ancienne professeur Marguerite Long, Scaramouche est tout d’abord une suite pour deux pianos.
Cette œuvre reprend des éléments d’une musique de scène composée pourune pièce de théâtre de son ami Charles Vildrac, une adaptation pour enfants du médecin volant, oeuvre elle-même inspirée des personnages de la Commedia dell'Arte. Elle a été adaptée pour saxophone et orchestre, puis pour clarinette et orchestre.
Le premier mouvement évoque naturellement le côté querelleur et espiègle du célèbre personnage italien. Volubile, la musique nous entraîne dans un tourbillon infernal de notes et rythmes virtuoses, provoquant un certain étourdissement. La profusion d’idées mélodiques et de pirouettes harmoniques embarquel’auditeur dans une course effrénée jusqu’à en perdre haleine, de même pour les interprètes !
Le second mouvement est écrit dans l’esprit d’un blues « fatigué ». Le personnage est épuisé, à peine retrouve-t-il un semblant de vigueur dans la partie centrale, plus passionnée et lyrique.
Le final, une brasileira, est un hommage au Brésil, un pays que Milhaud affectionnait particulièrement et auquel il a dédié plusieurs pièces dont Saudade do Brasil, une suite pour orchestre bien connue. La référence au carnaval, celui de Rio en l’occurrence, est tout à fait évidente. On chaloupe, on s’amuse, on virevolte avec notre personnage, avant de peut-être aller faire un tour du côté du fameux Bœuf sur le toit, rejoindre les amis du groupe des six…
De la version deux pianos à celle d’orchestre avec soliste réduite au piano par Juliette Boubel.
La version originelle pour deux pianos joue beaucoup sur la profusion mélodique et l’aspect percussif des deux instruments constamment mêlés. Ainsi, elle privilégie la clarté d’émission des ribambelles de motifs - comme si chaque note était accompagnée d’une consonne - et les différenciations de registres : de l’extrême grave très terrien à l’extrême aigu brillant et claironnant. L’effervescence de cette musique virevoltante prend un aspect presque visuel grâce à une spatialisation des éléments mélodiques et ryhtmiques à travers tous les registres des pianos, figurant eux même des personnages évoluant sur une scène de théâtre ou dans la rue.
Dans la version d’orchestre (originellement avec saxophone solo), Milhaud façonne les plans sonores et les textures en orchestrant chaque motif par des blocs d’instruments différents, rendant la part belle aux cuivres et percussions. L’aspect percussif de sa version pour piano est néanmoins atténué ici, au profit d’éléments mélodiques mis en valeur par le soliste, dont certains n’existaient pas auparavant. Milhaud peut modifier considérablement les modes de jeu et intensité des motifs par rapport à sa première version : parexemple,le premier thème exposé à l’orchestre est joué pianissimo en pizzicato, alors qu’il etait fortissimo dans la version pour deux pianos.
Enfin,la réduction d’orchestre écrite au piano par le compositeur est très simplifiée, supprimant beaucoup de contrepoints, et resserant souvent dans le medium du piano le discours musical.
J’ai donc souhaité écrire ma propre version de réduction d’orchestre en m’inspirant autant des deux versions. J’ai ainsi spatialisé davantage les plans sonores en jouant sur les changements de registres et ajouté de nombreux éléments mélodiques et ryhtmiques. J’ai également ponctué le discours par des accords dans l’extrême grave, donnant un aspect presque sauvage clairement voulu par le compositeur.
La clarinette ayant en premier lieu un rôle mélodique essentiel, et ne pouvant pas, par l’essence même de son instrument, rendre des attaques aussi percussives qu’au piano dans les motifs rapides - comme par exemple les notes répétées - il appartenait donc à mon instrument le piano de rendre ce côté trépidant par un jeu volontairement différent jouant sur des attaques franches voire percussives.
le Duo
Le duo Anthemis est né en 2017 d’un besoin irrépressible de musique de chambre de la part de ses deux protagonistes, tous deux originaires de Nancy. L'une concertiste et professeure au conservatoire de Metz, l'autre clarinette solo de l'orchestre national de Metz Grand-Est, les deux âmes en peine se sont reconnues, au détour des coulisses et antichambres des belles salles de concert où ils ont le bonheur de se produire régulièrement. Depuis six ans déjà, ils explorent inlassablement les plus belles pages de musique de chambre française, anglaise, américaine et germanique afin de vous les offrir avec générosité en concert comme au disque, sans détours, comme un beau bouquet de fleurs sauvages fraîchement cueillies...
Florent Charpentier
Né en 1982, Florent Charpentier remporte en 2008 un Premier Prix au prestigieux concours international « Printemps de Prague », une récompense qui n’avait plus été attribuée à un clarinettiste français depuis vingt-deux ans. Par ailleurs, il est nommé « Révélation classique de l’Adami » pour l’année 2009. En 2012, il est nommé clarinette solo de l’orchestre national de Lorraine, actuellement orchestre national de Metz-Grand Est.
Son parcours musical débute à l'âge de huit ans avec Philippe Moinet, clarinette solo à l'Orchestre de Nancy, puis se poursuit au Conservatoire de Nancy dans la classe d'Olivier Dartevelle. En 2000, il entre au Conservatoire national supérieur de musique de Lyon (CNSMDL), dans les classes de Jacques Di Donato et Robert Bianciotto.
En 2006, il obtient son diplôme national d'études supérieures de musique mention très bien à l'unanimité, avec mention spéciale du jury pour l'interprétation de la pièce de Karlheinz Stockhausen Der Kleine Harlekin. Cette brillante distinction lui vaut d'être invité à se produire en récital au Congrès international de la clarinette (Clarfest) en juillet 2007 à Vancouver.
Il s’est produit à plusieurs reprises en soliste aux côtés de formations prestigieuses tels que l’orchestre de chambre de Prague, l’orchestre de la Musique de l’air, l’orchestra della Toscana, l’orchestre de l’Opéra de Toulon, l’orchestre symphonique et lyrique d’Avignon ou l’orchestre philharmonique de Marseille, l’orchestre national de Lorraine, des phalanges avec lesquelles il interprète les grands concertos dédiés à son instrument.
La musique de chambre occupe une place importante dans sa formation et notamment le répertoire avec cordes et piano. Il s’est produit régulièrement aux côtés de différentes formations de chambre telles que le quatuor Léonis, le quatuor Stamic, Sonia Wieder-Atherton, le pianiste Antoine de Grolée, la harpiste Pauline Haas, et forme de 2009 à 2012 un duo original baptisé « Jeux d’anches » avec l’accordéoniste Mélanie Brégant.
Juliette BOUBEL
Après une médaille d'or au conservatoire de Nancy puis un premier prix supérieur inter-régional à Luxembourg, elle intègre le CRR de Paris dans la classe de Dominique Geoffroy et Hugues Leclère. Elle en sort avec un premier prix à l'unanimité avec les félicitations du jury en en 1997, puis un prix d'excellence en 2000. Elle a par ailleurs reçu le premier prix à l'unanimité au concours Claude KAHN.
Passionnée autant par le piano solo que la musique de chambre, elle rentre au conservatoire national supérieur de musique et danse de Lyon en piano (classe de Pierre Pontier) et accompagnement au piano (classe de Michel Tranchant), et obtient deux master en accompagnement et piano (mention très bien) en 2003 et 2005.
Elle se produit en récital, en soliste avec orchestre (concerto pour la main gauche de Ravel, concertos de Mozart, Beethoven) et en musique de chambre ; elle a notamment joué avec Anne-Aurore Anstett, Anne-Cécile Brielles (violon), Jessica Bessac (clarinette) lors de festivals et saisons artistiques à Banuyls-sur-Mer, Menton, les musicales de St Bernard en Beaujolais, festival de Dinard, opéra de Besançon, arsenal de Metz, salle Poirel à Nancy…
Depuis 2015, elle a créé avec la soprano Aline Maalouf le duo Tocca Voce, avec des concerts en France et au Liban. Elle a également eu le plaisir d'accompagner de nombreux choeurs, dont le choeur des trois cultures à Rabbat, les petits chanteurs de Saint Marc (film les choristes) et a accompagné des concours nationaux et internationaux (printemps de Prague). Dans ses concerts, elle aime créer des passerelles avec d'autres arts comme la danse, la peinture, la poésie, ou même la cuisine. Elle est également sensible aux claviers anciens, et ses choix d'interprétation sont influencés par les sonorités et touchers spécifiques de chaque facteur.
Titulaire de plusieurs certificats d'aptitude, elle enseigne au conservatoire de Metz.Depuis 2016, elle forme avec Florent Charpentier, le duo Anthémis.
Nous avons été très heureux d’enregistrer notre premier album à la salle de l’esplanade de l’Arsenal de Metz (Cité Musicale de Metz), sous les conseils avisés et chaleureux de Franck Sibold –directeur artistique- et le talent de Frédéric Briant au son. Nous remercions également Patrick Martin pour les photos lors de l’enregistrement, et Serge Heimlich pour l’identité visuelle de la pochette.
Enfin,nous avons été heureux de recevoir les précieux conseils d’Olivier Dartevelle pour le premier enregistrement mondial de sa sonatine.
Ce fut un moment particulièrement intense et mémorable, d’autant plus que le choix du programme ne nous a pas particulièrement ménagés !
de gauche à droite : Frédéric Briant, ingénieur du son, le duo Anthemis, et Franck Sibold, directeur artistique
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